Ω. Disponibilités particulières : Non, je ne crois pas ?
Ω. Comment avez-vous découvert CLR ? : Au petit bonheur la chance de top-site en top-site.
Ω. Êtes-vous sur Shinobi no Hattan ? Quel est votre pseudo là-bas ? : C'est... c'est... Laissez moi partir ! Non lâchez moi ! Je ne parlerai pas je... Aîe ! Ok ,je vais parler, j'étais... j'étais... Tsukiyo Koémi & Saibogu Suzuka/Tenmei
Ω. Changement de personnage et/ou Double-Compte : Non
Ω. Provenance de l'avatar : Aucune idée, je n'ai pas retrouvé l'origine et pourtant j'ai cherché. L'image ici ( On la retrouve sur divers sites qui propose des fonds d'écrans )

Ω. Prénom : Eve Tempérance
Ω. Nom : Richard
Ω. Âge : 24 ans
Ω. Race : Cyborg

Ω. Voie : Militaire
Ω. Place au sein de la faction : Police.
Ω. Grade/rôle/métier : Recrue du GIUC des forces de l'ordre. ( Groupe d'intervention de l'U-corp )

Ω. Pouvoir ou Suréquipement : ARES system (Combat )
Le système A.R.E.S. ( Pour Armor Reinforce ExoSkeleton ) C'est comme son nom l'indique un système de renforcement spécial de niveau militaire, il fut développé à la base pour la police, mais les plans ont fuités depuis. Le but de ce système bio-mécanique est de permettre à l'utilisateur de porter sans risque de rupture musculaire ou osseuse, de lourde charge et lui confère des capacités physiques supplémentaires. Ainsi, l'opérateur de l'Ares peut porter, soulever, tirer et pousser des charges impossibles sans et en réduisant grandement l'énergie dépensée pour cela. Cela permet aussi de longues marches ou course, même en transportant un équipement lourd et/ou encombrant, le tout se portant sous un uniforme renforcé pour le protéger d'éventuels assaillants.

Ω. Description : Physiquement, il est très facile de se rendre compte de ce qu'elle est. Non seulement la peau synthétique qui la recouvre est trop parfaite pour être naturelle, il n'y a pas de pilosité si on exclut les cheveux ou les sourcils et il risque quelques démarcations entre les membres visibles malgré tout. Si on exclut l'aspect artificiel et ayant exactement la même largeur de la base jusqu'aux pointes, sa chevelure est d'une teinte blonde dorée uniforme qui renforce l'aspect irréel de celle-ci, si elle les lâche et ne fait rien pour les coiffer, ils atteignent facilement le haut de son fessier. En parlant de sa pilosité, le seul autre endroit en ayant, ses sourcils, sont fin et de la même teinte. Elle a un visage doux et rond, agréable au touché comme le reste de la synthépeaux, de couleur chair claire et qui bien évidemment ne dore jamais au soleil. Elle a des lèvres sans particularité si ce n'est d'être légèrement discrètes, un petit nez légèrement retroussé. De beaux yeux mauves, qui laissent voir discrètement les capteurs optiques qui font office d'yeux.

Le reste de son corps laisse transparaitre une certaine fragilité factice, un corps de poupée longiligne sans muscle apparent. Comme si elle avait un corps d'adolescente venant à peine de finir sa puberté, mais qui laisse apparaitre des formes agréables sans être excessif. Pourquoi se priver d'avoir le physique qui vous plaît quand vous n'avez plus de corps réellement naturels ? D'ailleurs ses plaques de peau synthétique oublient volontairement certains détails, ainsi il n'y aura ni téton, ni nombril même si ces parties devaient être découvertes... Ce qui ne sera pas le cas en dehors de l'intimité, elle reste une jeune femme avant tout. Si elle ne porte aucun tatouage ou aucune trace de cet acabit, elle a tout de même certain numéro de série apparent sur certaines portions de la peau, notamment l'épaule droite, le côté du sein gauche et sur le côté du genou droit dans son arrondi.

Saigne-t-elle huile ou sang ? Une question bien indélicate, bien qu'une partie de ses muscles soit maintenant artificielle, elle reste aussi une ancienne humaine donc, la réponse coule de source n'est-ce pas ? D'ailleurs si la peau synthétique devait être archer pour une raison ou une autre, vous avez de fortes chances de voir un spectacle particulièrement désagréable de rouge et de noir, dont aucune description ne sera faite pour des raisons évidentes. La science alliée à la nature, si bien qu'elle ne fasse aucun bruit particulier quand elle se meut, et si d'aventure vous posé votre oreille sur son torse pour y entendre son cœur, la mélodie de celui-ci n'est pas solitaire, elle est allié à un second en duo, mais plus mécanique celui-ci.

Ainsi, du haut de son mètre soixante-dix très exactement, malgré sa forme très fine si on exclut ses rondeurs bien disséminées pour la rendre belle et féminine, son poids qu'aucun gentleman digne de ce nom ne devrait demander ou évoqué, monte à cent cinquante bons kilogrammes... Autant dire que si mari elle trouve, il ne la portera pas comme la tradition le veut à moins qu'il ait des muscles bien préparés ou réellement beaucoup de volonté !

Mais alors, est-elle machine ou mortelle ? C'est une bonne question, mais sachez que bien que sa condition lui permette de se prémunir de bien des maladies, de gaz ou autre chose du même acabit les plus bénins, elle y reste tout de même soumise, bien qu'avec résistance. Tout comme la chair est faible, elle pourrait très bien avoir des problèmes d'ordre purement médical quant à ce qui lui reste de son ancien corps. Dont un certain type de parasite que les femmes aiment de tous leurs cœurs , qui met neuf mois à venir à terme et que dame nature aime bien pousser à la conception à grand coup de message hormonal divers... Non elle n'échappe pas à ce genre de problème malheureusement, ou heureusement ? Allez savoir, cela dépendra de votre point de vue, en tout cas elle a tout ce qu'il faut pour ce genre d'exercices...

Mais si on laisse de côté, en tout cas en partit, du physique de la jeune femme, sa démarche elle est franche et déterminée, parfois même guillerette , enfantine et légèrement sautillante quand elle est de bonne humeur. Son visage, bien qu'étrange pour certains, est particulièrement expressif, généralement souriant, mais avec tellement de déclinaisons que cela serait ridicule de vouloir toutes les décrire. Ses gestes surtout quand elle n'est pas au travail sont à la fois tendres, lents et mués avec une précision d'horloger. Si son corps peut sembler irréprochable, ce n'est pas le cas de son esprit. Même la science à ses limites et la psychologie d'une jeune femme qui n'a plus grand-chose de naturel est aussi fragiles que son corps le laisse entendre.

Ainsi, si elle transpire cette tendresse qu'elle essaye d'extérioriser, c'est parce qu'elle est friande de douceur, elle est régulièrement en manque d'amour et à peur d'être rejeté ce qui arrive régulièrement. Après tout, qui pourrait être réellement ami avec un "robot", terme qui la fait gravement souffrir, amis, amants, elle cherche des sources de sentiments pour combler un cœur qui se vide toujours, qui a un grand trou en lui. Cela la rend terriblement empathique, mais surtout émotive. D'ailleurs, la pauvre a le sang chaud, c'est la jeunesse qui parle diront certains, mais pas seulement. Du coup, elle est particulièrement réceptive aux provocations, aux sautes d'humeur aussi, mais cela la rend aussi malheureusement très prévisible et manipulable.

Elle a ce caractère à fleur de peau, caractéristique qui est aussi physique chez elle tant elle est sensible aux stimuli externes ce qui la rend aussi très tactile. Elle croit aussi fermement dans les bienfaits de l'U-corps, elle est loyale envers la société et ses citoyens, elle croit fermement aux mots protéger et servir et s'efforce autant que possible d'être un modèle pour les autres... Avec plus ou moins de succès bien sûr.

Difficile de s'imaginer tout ça lorsqu'elle est derrière son uniforme de la police n'est-ce pas ? Celui-ci. Celle-ci est pratique à bien des égards, sa visière permet d'éviter que ses expressions la trahissent et elle a même un mode silence pour pouvoir vociférer des tas d'horreurs sans que vous n'en entendiez un seul traitre mot. En plus, elle est taillée de sorte à ce qu'elle puisse porter son ARES tout en étant protégé par son uniforme renforcé, évidemment, ça ne fera pas de miracle, mais c'est déjà ça de pris n'est-ce pas ?

Ω. Histoire : Fille de Marie Richard, nom de jeune femme Marie Sue et de Bill Richard, alias Gros Bill même s'il est plus musculeux qu'obèse, la petite était attendue au tournant. Pourtant bien que ses parents soit d'une certaine trempe, la petite elle était on ne peut plus normale. Eve Tempérance, se second prénom en l'honneur de sa grand-mère avait des résultats honorables sans être mirobolant, n'était pas une enfant particulièrement originale et encore moins hyperactive. Le genre de petite qui disparaît, qui est une figurante au milieu d'affreux jojo ou de petit génie qui eux se font bien plus remarquer. On peut penser qu'avec es surnom pareil, ses parents sauraient lui avoir une vie digne d'un conte de fées, ou alors que ça serait une horreur et... Non. Ils ont tout fait pour qu'elle soit heureuse, sans trop la gâter, mais sans lui octroyer réellement ce qu'elle désirait le plus : leur présence. Au point que Dimitri, son oncle et demi-frère de Bill était limite plus présente qu'eux pour elle.

Ce n'était pas de leurs fautes, inspecteur de la police, Gros Bill avait plus de pain sur la planche qu'une famille entière et son goût du travail bien fait et son dégoût pour le crime aidant, il passait littéralement sa vie ou presque au travail. Et sa mère n'était pas en reste de ce point de vue, elle a beau être institutrice, elle n'a pas su voir qu'elle couvait plus d'amour ses élèves que sa propre fille... Dans ce genre de cas, un enfant à deux moyens de réagir, la voie qu'elle n'a pas suivi, de faire le plus de bêtise possible pour s'assurer d'exister à leurs yeux, ou alors se saigner aux quatre veines pour essayer de gagner leurs attentions en l'achetant avec de bons résultats, même si ça fonctionnait presque plus sur son oncle que ses géniteurs.

Ce besoin irrépressible fut sa carotte pour se donner à fond, si bien qu'entré au collège, elle devenait malgré elle de plus en plus une grosse tête asocial, refusant de s'ouvrir aux autres et devenant la chouchoute des professeurs qui ne pouvaient s'empêcher de dire aux autres de suivre son exemple s'ils voulaient avoir une meilleure vie plus tard. Tout le monde sait que s'empêcher de vivre, s'isoler de ses camarades et en plus trop se montrer meilleurs qu'eux n'est jamais une solution viable. Surtout quand ils commencent à devenir jaloux, cela n'a pas tiré sa sonnette d'alarme et encore moins celle de ses professeurs. Du coup, même si ce n'est ni rare ni extraordinaire elle commença à être la cible de brimade diverse. Ça commença doucement avec des affaires volées, mis dans la poubelle ou des noms d'oiseaux, mais au fur et à mesure, cela n'allait que de mal en pis.

Non, elle restait aveugle à ses propres problèmes, trop contente de voler un sourire et des félicitations à ses parents à chaque bonne note qu'elle leur rapportait, d'avoir un large sourire et de longue tirade de son oncle plus que ravie lui aussi, c'était déjà mieux que rien et elle pouvait très bien endurer le reste, peu importe. Mes les enfants grandissent, ils deviennent des adolescents et s'ils ont leurs propres problèmes, ils ont aussi leurs grandes erreurs. Margaret et son "gang", une petite bande de petites frappes féminines, le genre qui aurait fumé en douce, bu de l'alcool et avec une brique dans le sac ou un canif juste pour faire genre... Méchante, pas parce qu'elles sont mauvaises en soit, mais parce qu'elles sont perdues et se cherchent. Le rapport avec la gentille Eve aux culs de bouteille, taches de rousseur et col roulé très large pour cacher ses formes parce que, les garçons c'est trop nul ? C'est que Margaret avait besoin de se défouler, évacuer le stress accumulé chez elle et même ailleurs, alors elle a trouvé la parfaite tête de turc. Le problème quand on a une victime régulière, c'est qu'on va toujours plus loin, parfois, même beaucoup trop loin.

Un simple râtelier à outil dans le jardin, elles voulaient juste l'enfermer dedans et mettre un peu de fumée autour pour faire peur à cette sale intello, lui sortir le nez de ses foutus livres ! Cela ne pouvait pas mal se passer, elles avaient bien fait attention, elles avaient même humidifié le bois au cas où, elles ne sont pas stupides quand même. Mais, l'enfant, même et surtout pendant sa puberté est loin d'être le plus malin, elles n'avaient pas pris en compte deux facteurs... L'intérieur du lieu de la blague et la panique de leur victime. Inutile de décrire cela pendant des heures, la blague a tourné très mal, le feu, une victime terrorisée et des produits accélérant le feu ne leur ont pas donné le temps de rectifier le tir, c'était trop tard dés la première flamme.

C'était un incident dire les uns, une tentative de suicide pour les autres, mais personne n'a sérieusement pensé à la piste criminelle. De toute manière, les prouvent sont partie enfumée, littéralement et sans enquête approfondie jamais rien de plus ne serait trouvé. Eve, elle savait pertinemment qui avait fait ça, elle ruminait sa rage, allongée en soin intensif le corps brûlé. À moins que cela ait était étouffé, car, le père de la douce Margaret ait versé des crédits dans les bonnes-mains ? Conjecture ! Mais le résultat n'en fut pas moins le même. Eve à eux deux choix, subir des opérations pour essayer de retrouver sa dignité humaine, la technologie était bien assez grande pour réussir, même si elle souffrait de divers problèmes à cause d'organes touchés... Ou alors, choisir la voie du métal...

Il lui a fallu du temps pour réfléchir à cela, mais finalement, une simple question de son oncle scella son futur, le meilleur choix pour elle était de devenir semi-artificiel. Grâce à l'assurance de sa famille, elle s’est fait opérer plusieurs fois, devenant un peu moins humaine à chaque fois. Elle a même pu choisir son physique, refusant de cacher ce qu'elle était, prenant un corps montrant sans gêne qu'elle est et en est fière. Finissant son année par de longues rééducations, elle put retourner en cours ou une certaine chipie l'évitait comme la peste, sans jamais oser dire un mot plus haut que l'autre ou même la regarder de travers. Elle avait bien entendu le droit régulièrement à des séances avec des spécialistes pour s'assurer que son corps comme son mental allait bien, s'en remettant étrangement vite, en tout cas en apparence de cet incident horrible. Cela ne l'empêche pas de faire régulièrement un certain cauchemar, elle a vu l'enfer, même si cette notion à été retiré de son esprit par un certain protocole.

Si le jour suivant l'obtention de son diplôme, elle s’est assuré de voir la Margaret, devenue l'ombre d'elle-même en tête-à-tête... Les autres avaient déjà était depuis longtemps transférée ailleurs et elle ne les révéra jamais, si c'est le cas elle ne se souvenait plus d'elles... Une fois face à sa tortionnaire, elle aurait pu expulser toute sa rage à sa figure, mais déjà elle n'avait aucun goût pour la vengeance et à la voir dans cet état, elle a eu un déclic. Sous le regard effrayé et perdu de celle qui la mise dans cet état, elle l'a approché et l'a enlacée. Ne comprenant pas ce qui lui arrivait, s'attendant à perdre au moins une ou deux dents et surtout espérant inconsciemment d'être puni pour son crime, non, rien de cela. "Le plus dur, ça ne sera pas que je te pardonne, mais ça sera de te pardonner toi-même." Il n'y avait qu'à voir l'épave qu'elle était devenue pour comprendre qu'elle avait assez souffert, c'était naïf, mais c'était son choix. "J'ai décidé de devenir officier de police, je vais jurer sur mon honneur et sur le Code pénal de protéger et servir tous les citoyens, toi comprise." C'était tellement ridicule que Magy a éclaté de rire, un rire étrange qui rapidement s’est mué en longs sanglots.

Depuis ce jour, alors qu'elles auraient dû être ennemies, elles sont devenues étrangement amie, des sœurs qui s'aiment autant qu'elle se déteste, car, chacune d'elle fait remonter d'horribles souvenirs à l'autre. Que le cœur des Hommes est étrange n'est-ce pas ? Entrant dans l'école de police, elle prenait le temps chaque jour d'aller voir Magy même cinq pauvres minute si elle ne pouvait pas plus, pour s'assurer qu'elle devienne clean dans un premier temps, qu'elle refasse son année perdue et avec de bonnes notes, l'engueulant sans ménagement a la moindre connerie. "C'est un boulet Eve, laisse la tomber avant qu'elle ne te fasse couler avec elle.", Oui c'était son poids, mais c'était aussi l'image réelle de sa résolution. Une résolution qu'elle a vu obtenir son diplôme à son tour alors que les propres parents de la jeune femme avaient abandonné, la forçant à trouver un bon travail et à le tenir. Mais, elle ne pouvait pas lui tenir la bride éternellement, c'était devenu presque malsain à force, elle a fini par la laisser, dans les bras d'un jeune homme qui a eu le droit à des menaces on ne peut plus clair, s'il lui faisait du mal il regretterait amèrement son geste.

Le temps est passé, elle est devenue policière, a eu d'excellents résultats mêmes si le début fut chaotique et nébuleux. Si bien, qu'elle a eu le droit de faire le concours pour entrer dans le GIUC. Elle l'a réussi, pas haut la main il ne faut exagérer, mais tout de même. De nouveaux jours s'annoncent à elle, même si elle garde une certaine routine habituelle, se réunir régulièrement avec Magy autour d'un thé, papoter, échanger des bises et un câlin et finalement, voir qu'elle a bien fait de tenir jusqu'au bout. Recrue Eve Tempérance Richard, prête à protéger et servir.