Ω. Disponibilités particulières : Pas vraiment ~
Ω. Comment avez-vous découvert CLR ? : SnH
Ω. Êtes-vous sur Shinobi no Hattan ? Quel est votre pseudo là-bas ? : Oui, Hankei Ko
Ω. Changement de personnage et/ou Double-Compte : /
Ω. Provenance de l'avatar : Google.

Ω. Prénom(s) : India, Amy, Meriel.
Ω. Nom : Lowe
Ω. Age : La vingtaine
Ω. Race : Améliorée

Ω. Place au sein de la faction : Agent de Police de Sureté
Ω. Grade/rôle : Lieutenant

Ω. Classe : Tireur
Ω. Pouvoir ou Suréquipement : L'auto-dématérialisation, ou plus simplement pouvoir traverser des objets solides comme une porte, un mur ou quoi que ce soit. Cependant, India ne peut exercer cette capacité plus de quelques minutes, passer cette limite elle se rematérialisera automatiquement, peu importe où elle se trouve, et ne peux pas traverser des matières solide trop épaisse, type porte blindée de coffre fort.
Ω. Arme souhaitée : Un pistolet 9 mm (avec finition en argent s'il vous plait ~❤︎)

Histoire du personnage

Ω. Description :

Vide, voilà ce que je suis.

« J'ai fini. »

L'espèce de femme me prit le bout de papier, elle prit à peine le temps de lire qu'elle me le relança à la figure.

« C'est une description ça ? Mais je m'en contrefous de savoir si tu te sens bien ou non ! Ou même si tu es mentalement anormale ! Je veux que tu te décrives ! Ce n'est pas si compliqué ! »

Elle sortit furieusement de la pièce. Qu'est-ce que je n'aurais pas offert pour, qu'à ce moment-là, elle soit tombée par terre, mais c'était il y a longtemps. Une autre personne entra, me rapportant un autre papier, identique à celui qui avait atterri dans ma tête.

« Écoute-moi, India. Je su–
« Je ne veux pas le savoir. Donnez-moi cette feuille, que je puisse rapidement parti d'ici et ne plus jamais revoir vos sales faces. »

Il se tut, heureusement, et je me mis à griffonner des mots sur la surface lisse du papier.

Description physique d'India Amy Meriel Lowe, écrite par India Amy Meriel Lowe :
Un mètre soixante-huit et trois millimètres, peut-être quatre. Peau claire, ponctuée d'environ trente grains de « beauté » perdus sur la surface utilisable et d'une tache de naissance sur le côté extérieur de la cheville droite. Cheveux légèrement ondulés, longs et couleur chocolat noir. Sourcils fins et arrondis. Yeux en amande de couleur vert et gris, de la droite vers la gauche. Nez court et retroussé. Bouche normale. Aucun signe particulier. Style vestimentaire indéfini et changeant.

« Voilà. »

Je poussais la feuille et le stylo vers le côté de la table où se trouvait l'homme et partis, ignorant les mots qui provenaient de ses cordes vocales, que j'avais envie de trancher. En cherchant le chemin de la sortie, je me permis de brûler quelques mèches de la fausse blonde, qui s'était permis de me crier dessus, avec un briquet volé à côté de la machine à café. Je suis vide, et alors ? Avais-je envie de lui crier dessus, mais il valait mieux se faire discrète.

Quelques jours plu tard, une lettre arriva à l'internat où j'avais été placée, elle était pour moi. En l'ouvrant, je découvris deux feuilles : la première disait qu'ils souhaitaient que je remplisse une deuxième feuille avec ma description psychologique, la deuxième était une feuille vierge. Je prenais un stylo et commençais à gratter le bout de papier.


Description psychologique d'India Amy Meriel Lowe, écrite par India Amy Meriel Lowe :
Vide et changeante, je peux être n'importe quoi ; à vous de voir ce que vous souhaitez que je sois.

Ω. Histoire :
Mon premier souvenir remonte au jour où ma mère a tué mon père, je devais avoir dans les trois ou quatre ans ce jour-là. C'était au printemps, ou en été ? Je ne sais plus vraiment. En tout cas, il faisait beau. Il me semble que nous revenions tout juste d'un séjour, je ne sais plus où non plus. J'ai effacé quasiment tous les souvenirs de cette journée, mais un persiste, il tourne dans ma tête encore et toujours, celui du moment où le sang de mon père à couler de son corps. Je revois le corps de mon père vivre ses derniers instants étalés à même le sol, observant silencieusement son propre sang lui ôter la vie. Après cela, peut-être suis-je rester à côté de lui de longues minutes, ou peut-être que celle que, jusqu'alors, je considérer comme ma mère m'a emportée avec elle loin de cette scène qu'elle venait de créer ? Je ne sais plus. Comme je n'ai jamais su pourquoi elle l'a fait.

Après cela, il me semble avoir vécu quelques années avec ma mère. Lors des heures de classe, je m'adaptais à mes camarades et à la maison, je m'adaptais aux différentes personnes que je devais appeler « papa ». Ce mot m'a toujours dégouté : « Papa ». C'est un mot vide, comme moi, on ne l'utilise que pour remplir une case manquante de notre vie, dans le cas de cette appellation ce doit être l'autorité paternelle. Je me souviens encore de comment je devais me comportais avec chacun de ses « papas ».

Le premier, le troisième et le onzième préféraient les enfants sages, je restais donc toujours à carreaux, travaillais sérieusement et ramenais des bonnes notes, exécutant les quelques ordres qu'ils me donnaient. Le second, le huitième et le treizième appréciaient quand j'étais souriante et joueuse. Le quatrième, ainsi que le cinquième, sixième et le dixième détestaient les enfants, durant ces périodes-là, je m'arrangeai toujours pour dormir régulièrement chez des amies et je restais très discrète à la maison. Les septième, neuvième et douzième ne discutaient avec moi que de mes rêves d'avenir, à cette époque, je voulais déjà travailler dans le secteur judiciaire, ils aimaient s'étonner de la précision de mes espoirs. Quant au quatorzième, ce fut le dernier et le pire, ce fut le seul alcoolique que ma mère ramena, pourquoi ? Très bonne question. Il criait tout le temps et n'appréciait aucun de mes attitudes, peut-être détestait-il simplement l'adolescente que j'étais à ce moment-là.

En tout cas, il n'y en a eu que quatorze car ma mère à envoyé le dernier en prison, et s'y est enfermé elle-même, par la même occasion. Je ne me souviens pas du procès, mais je me souviens que j'ai découvert mes compétences d'Améliorée à ce moment-là, je ne me souviens plus comment par contre, mais je devais avoir dans les douze ou treize ans, je pense. Après cela, j'ai été placée, selon mon insistante demande, dans un internat. Là-bas, j'ai suivi une filiale spécialisée pour rejoindre la police de sûreté dès ma sortie du système éducatif.

Les professeurs appréciaient les élèves très travailleurs et les autres élèves aimaient les élèves sérieux mais sociables, j'ai suivi cela pour devenir la parfaite étudiante. En tant que cette parfaite étudiante, je suis donc sortie du système d'enseignement avant le reste de la génération dans laquelle on m'avait placée. Chacun des personnages que j'ai croisé dans cet endroit m'a félicité le jour de ma sortie, je ne sais pas pourquoi apparemment cela fut important pour eux. Je devais être la première à sortir à l'avance de l'internat... J'ai donc intégré la police de sûreté, j'ai même était promue Lieutenant.

Désormais, je dirige ma vie selon mon unique objectif : donné leurs punitions à chacune de ses personnes qui sont comme ma « Maman », chacune de ses personnes qui détruisent la vie des autres. Cet objectif, je l'accomplirais, et ce, par n'importer quel moyen.

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